I RISCHI POLITICO ECONOMICI PER LA GUINEA BISSAU
Un'interessante analisi (in francese) dell' INTERNATIONAL CRISIS GROUP." SYNTHESE
"La Guinée-Bissau a besoin d’un Etat. Ses structures politiques et administratives ne lui permettent ni de contrôler son territoire, ni d’assurer les services publics minimums, ni de contrebalancer la domination politique de l’armée. Cette faiblesse structurelle est à l’origine de crises politiques récurrentes, de coups à répétition et de la prolifération de réseaux criminels. Cependant, la Guinée-Bissau semble être engagée aujourd’hui dans un nouvel élan grâce au pacte de stabilité politique signé par les trois partis politiques les plus importants en mars 2007. Le risque est réel de voir le pays devenir un narco-Etat et un no-man’s land politique et administratif, ouvert à tous les trafics et aux réseaux terroristes du Maghreb. La communauté internationale devrait d’urgence soutenir les efforts du gouvernement actuel pour consolider la démocratie, réformer le secteur de la sécurité et construire des structures étatiques viables.Comme colonisateur, le Portugal n’avait pas construit la charpente d’un système politique, administratif et bureaucratique qui aurait pu constituer la base d’un véritable Etat postcolonial. Le Portugal salazariste ayant réfusé de négocier, la Guinée-Bissau lutta pour son indépendance – le seul pays de la région à obtenir l’indépendance par la force des armes. Aucun des dirigeants qui se succédèrent au pouvoir depuis 1974 ne tenta cependant de mettre en place les structures d’un Etat fonctionnel et démocratique. Par conséquent, les infrastructures, la bureaucratie, l’administration, les institutions politiques et les indices de développement humain et social n’ont pratiquement pas évolué depuis les premières années d’indépendance.
"CONTINUA a leggere l'articolo SUL SITO:
http://www.crisisgroup.org/home/index.cfm?id=5549&l=2
Un'interessante analisi (in francese) dell' INTERNATIONAL CRISIS GROUP." SYNTHESE
"La Guinée-Bissau a besoin d’un Etat. Ses structures politiques et administratives ne lui permettent ni de contrôler son territoire, ni d’assurer les services publics minimums, ni de contrebalancer la domination politique de l’armée. Cette faiblesse structurelle est à l’origine de crises politiques récurrentes, de coups à répétition et de la prolifération de réseaux criminels. Cependant, la Guinée-Bissau semble être engagée aujourd’hui dans un nouvel élan grâce au pacte de stabilité politique signé par les trois partis politiques les plus importants en mars 2007. Le risque est réel de voir le pays devenir un narco-Etat et un no-man’s land politique et administratif, ouvert à tous les trafics et aux réseaux terroristes du Maghreb. La communauté internationale devrait d’urgence soutenir les efforts du gouvernement actuel pour consolider la démocratie, réformer le secteur de la sécurité et construire des structures étatiques viables.Comme colonisateur, le Portugal n’avait pas construit la charpente d’un système politique, administratif et bureaucratique qui aurait pu constituer la base d’un véritable Etat postcolonial. Le Portugal salazariste ayant réfusé de négocier, la Guinée-Bissau lutta pour son indépendance – le seul pays de la région à obtenir l’indépendance par la force des armes. Aucun des dirigeants qui se succédèrent au pouvoir depuis 1974 ne tenta cependant de mettre en place les structures d’un Etat fonctionnel et démocratique. Par conséquent, les infrastructures, la bureaucratie, l’administration, les institutions politiques et les indices de développement humain et social n’ont pratiquement pas évolué depuis les premières années d’indépendance.
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